Mad Max 2038

Thus it had arrived
Died was freedom
The prisons were spread out everywhere
Everyone became insane
The love was not any more
And any friendship, had been keep silent
The poor
Were made mercenaries
Rich person
With the gold bearing resources
One remembered, with favor
Of Sarkozy, Le Pen, Holland, without savor
Free, Salazar, Mussolini
And even of the ace of the cretins
Whose tortured still cries push
Bachar el- Assad with infinite inhumanity
Who in 2038, would be and by far
Men of the left, without any bond
Now, it is terror
Today, it is the horror
Thus it arrived
And was very played
In the past
Everywhere, private militia
All armed well
In order to keep well
All food products of the stores
Who if not, would be plundered
By hordes of huns
Now, only of the oligarchs
With their hunger, can eat
Mad max 2038
Everyone is alarmed
And would like weapons
It is the first which declads
With all its hatred
There is no more future
There is no more nature
There is no more culture
Very was played in the past
It is not any more in this time
That to kill or be killed
The oligarchs are made change
Their artificial limbs
Pharmacies are jewelleries
Who are reserved for the official ones
Mad max 2038
It is in the past
That our tombs were dug
It is in the past
That we committed suicide
Oligarchs
Still reserved some privileges
With those and those which protected them
The poor and poor women become of the police forces
Poor and poor ones arrived of the military troops
It was necessary to subdue the revolts of the hunger
More work, more unemployment, almost more nothing
You had not wanted
That false socialism
You had the oligarchs
And all their bludgeons
You had true cruelty
You had if fear of anarchy
Mad max 2038
Very had crumbled
Very was played
In the past
Banks, purses
Whole world
The world became a cage
Where one dies without any age
The present mixes with the past
The past merges with the present
Finished the time of the social helps
Allowances, retirements, even more taxes
But I hear a militia
Who full with mischievousness
Will take, and will be made the skin to me
Just time, to hide this word
Just time, but it was too beautiful
And, I do not have any more time
Because one will hang to me
Considering me demented person, in this moment

Patrice Faubert (2012) pouète, peuète, puète, paraphysician, Pat says the guest on “hiway.fr”

Ainsi c' était arrivé
Morte était la liberté
Les prisons s' étalaient partout
Tout le monde devenait fou
L' amour n' était plus
Et toute amitié, s' était tu
Les pauvres
Se faisaient mercenaires
Des riches
Aux ressources aurifères
L' on se souvenait, avec faveur
Des Sarkozy, Le Pen, Hollande, sans saveur
Des Franco, Salazar, Mussolini
Et même de l' as des crétins
Dont les torturés poussent encore des cris
Bachar el- Assad à l' inhumanité infinie
Qui en 2038, seraient et de loin
Des hommes de gauche, sans aucun lien
Maintenant, c' est la terreur
Aujourd'hui, c' est l'horreur
Ainsi c' est arrivé
Et tout s' est joué
Dans le passé
Partout, des milices privées
Toutes bien armées
Afin de bien garder
Toutes les denrées des magasins
Qui sinon, seraient pillées
Par des hordes de huns
Maintenant, seuls des oligarques
A leur faim, peuvent manger
Mad Max 2038
Tout le monde s' alarme
Et voudrait des armes
C' est le premier qui dégaine
Avec toute sa haine
Il n' y a plus de futur
Il n' y a plus de nature
Il n' y a plus de culture
Tout s' est joué dans le passé
Ce n' est plus dans ce temps
Que tuer ou être tué
Les oligarques se font changer
Leurs membres artificiels
Les pharmacies sont des bijouteries
Qui sont réservées aux officiels
Mad Max 2038
C' est dans le passé
Que nos tombeaux furent creusés
C' est dans le passé
Que nous nous sommes tués
Les oligarques
Réservaient encore quelques privilèges
A ceux et celles qui les protégeaient
Des pauvres et pauvresses devenus des forces policières
Des indigents et indigentes parvenus des troupes militaires
Il fallait mater les révoltes de la faim
Plus de travail, plus de chômage, presque plus rien
Vous n' aviez voulu
Que le faux socialisme
Vous aviez les oligarques
Et toutes leurs matraques
Vous aviez la vraie barbarie
Vous aviez si peur de l' anarchie
Mad Max 2038
Tout s' était effondré
Tout s' est joué
Dans le passé
Les banques, les bourses
Du monde entier
Le monde est devenu une cage
Où l' on meurt sans aucun âge
Le présent se mélange au passé
Le passé se confond avec le présent
Fini le temps des secours sociaux
Allocations, retraites, même plus d' impôts
Mais j' entends une milice
Qui pleine de malice
Va me prendre, et me faire la peau
Juste le temps, de cacher ce mot
Juste le temps, mais c' était trop beau
Et, je n' ai plus le temps
Car l' on va me pendre
Me considérant dément, dans ce moment

Patrice Faubert (2012) pouète, peuète, puète, paraphysicien, Pat dit l' invité sur "hiway.fr"