Surpopulation et paupérisation

" Les fous ! Me laisser seul avec moi-même, eux qui me déconseillaient les mauvaises fréquentations ! "

Pierre François Lacenaire ( guillotiné en 1836 ) via le fameux film "Les enfants du paradis"

Encore une abstraction méphitique
De l'équité en paraphysique
Mais depuis que les espèces sont apparues
En voilà 99 pour cent déjà disparues
Comme 5 pour cent de l'ADN seulement
Chez l'humain a une fonction connue
95 pour cent, le reste, est non codant
Sans le savoir, qui l'aurait cru ?
Et puis même avec le chou
Nous avons 40 pour cent en commun, c'est fou
Avec la souris c'est 85 pour cent
Avec le grand singe chimpanzé, c'est au moins 95 pour cent
De séquences génétiques en commun
Tout ce qui vit est forcément cousin !
Et finalement, à part les psychopathes
Qui ne furent pas aimés, qui furent humiliés
Aucun être humain n'aime tuer
En voici quelques cartes
Pendant la guerre du Vietnam, c'est scotomisé
Pour chaque ennemi tué
Chaque soldat américain utilisa 50.000 cartouches
Donc, très très peu firent mouches
Pendant la guerre de 1940, c'est surprenant
1 soldat américain sur 5, sur l'ennemi, tira réellement
Sans compter le syndrome du stress post-traumatique
Car aucune guerre n'est empathique !
Maintenant c'est la guerre de la pollution généralisée
Dans le monde 300 millions d'asthmatiques
Polluants tous genres, bien variés
Allergène est aussi ma paraphysique
Comme les poils de chiens et de chats
Acariens, moisissures, tout un plat
Car le monde est trop propre, aseptisé
Et notre système immunitaire
Ne sait plus s'adapter, ne sait plus y faire
Et choc anaphylactique à la moindre poussière
Feu ( 1879-1962 ) Henri Wallon
Et son ( 1931 ) stade du miroir
Pour s'identifier, son soi, se voir
N'empêche pas de tourner en rond
De se poser de mauvaises questions
Ni ( 1970 ) le test du miroir ( né en 1941 ) de Gordon G Gallup
Cétacés, éléphants, chimpanzés, corvidés
Et autres bêtes oubliées, affreuses ou pin-up
Le même lien, boire, manger, copuler
Hélas, la surpopulation
Rime avec oppression et répression
Comme la paupérisation
Rime avec la contre-révolution
Comme les toxicomanes, les drogués
Qui n'importe qui peuvent voler
Certes, il ne faut pas en faire une généralité
Surtout, à la police, ils peuvent indiquer
Ce sont ( comme dans le film ) des " Lacombe Lucien "
Pour le fascisme libéral, c'est très bien
Si peu politisés, surtout si peu informés
Que toute dictature sait bien utiliser !
La pauvreté est du côté le plus fort
Facilement achetable, elle pue la mort
C'est l'armée de réserve de tout fascisme
Tout autant que l'ordinaire du fascisme
La pauvreté ne rend pas intelligent
Par le bas, c'est le nivellement
Elle rend idiot, violent, méchant
Ainsi, un noir pauvre
Est encore plus noir
Mais un noir riche
Devient blanc et n'est plus noir
Ainsi, un blanc pauvre
Est comme un noir
L'argent blanchit
La pauvreté noircit
Classes laborieuses
Classes dangereuses
Mais entre pauvres uniquement
Pas pour les riches, paradoxalement
Bref, la surpopulation et la paupérisation
Sont pour tout fascisme, une bénédiction !
Forcément, les pauvres ont des femmes à problèmes
Pour les riches, belles femmes faussement amènes
Et puis, c'est le retour de l'ordre moral
Plus aucune place pour l'esprit marginal
Il faut se conformer
A toutes sortes d'imbécillités
Pour baiser, pour manger, et surtout pour travailler
Ou alors tu peux crever !
Ce sont les riches qui sont solidaires
Les pauvres, eux, se font la guerre
Je l'écris, tant pis, cela va encore déplaire
Pas étonnant, dans ce temps si réactionnaire !
Et même chez des libertaires
Qui sont de parfaits autoritaires
Sans s'en rendre compte, toujours en compétition
Le sens inverse de toute vraie révolution
Ni inférieur, ni supérieur, à qui que ce soit
Voilà ma seule profession de foi !
Je ne peux rien t'apprendre que tu ne saches déjà
Mais il faut l'appliquer, c'est tout, voilà
Et la culture, les arts, la science, et tout le toutim, des bourgeoisies
Je m'en fiche bien, tout cela n'est pas l'anarchie
Tout cela n'est pas la vie !

" A mon tour il faut que j'éventre
la vie afin de m'y vautrer
Qu'elle sente que je lui rentre
la pointe de mon coeur outré !

Jacques Audiberti ( 1899-1965 )

Plus aucune nation
Plus aucune patrie
Plus aucun parti
Plus aucune religion
Plus aucune idéologie
Plus aucune frontière
Plus aucun conflit
Aucune propriété et donc aucune guerre
Si nous voulons sur Terre, un jour, la vie !
Feu ( 1931-1989 ) Thomas Bernhard qui détestait les diplômes
Avait bien compris la supercherie
Une licence ou un doctorat, ce binôme
Ne récompensant qu'une infime petite partie
Dans tel ou tel domaine
Mais tout le reste est à la peine
C'est d'une infinie prétention
Et même sur une seule spécialité, c'est totale réduction !
Les étudiants et étudiantes sont complices
De cette farce qui met la modestie au supplice
Et puis le véritable étudiant
C'est toute sa vie, où l'on est, où l'on va
Et pas après le parchemin, on arrête tout
Cela cache son ignorance, et c'est tout !
Vive l'autodidacte, un ami
Basta l'étudiant, c'est un ennemi
Comme moi, tu sais que dalle, mon pote
Sur ton infatuation, je rote !
L'université
Le système ne fait que perpétuer
C'est l'assurance de sa pérennité
De ce monde, l'ouvrier est méprisé
Comme le conflit de territorialité
Entre Israêl et Palestine, encore la propriété
Il serait pourtant si simple de tout partager
Et d'en finir avec toutes les nationalités
Il faut pour cela, une totale mutation des mentalités !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

“Them insane! To only leave me with myself, them which disadvised the bad companies to me! ”

Pierre François Lacenaire (guillotined in 1836) via the famous film “children of the paradise”

Still a mephitic abstraction
Equity into paraphysic
But since the species appeared
In here are 99 percent already disappeared
Like 5 percent of the DNA only
At the human one has a known function
95 percent, the rest, are not coding
Without the knowledge, which would have believed it?
And then even with cabbage
We have 40 joint percent, it is insane
With the mouse it is 85 percent
With the large monkey chimpanzee, it is at least 95 percent
Genetic sequences jointly
All that lives is inevitably cousin!
And finally, except for the psychopaths
Who were not loved, who were humiliated
No human being likes to kill
Here are some cards
During the war of the Viêt - Nam, it is scotomisé
For each killed enemy
Each American soldier used 50,000 cartridges
Therefore, very very little made flies
During the war of 1940, it is surprising
1 American soldier out of 5, on the enemy, really drew
Not counting the syndrome of the post-traumatic stress
Because no war is empathic!
Maintaining it is the war of generalized pollution
In the world 300 million asthmatic
Pollutants all kinds, varied well
Allergen is also my paraphysique
Like the hairs of dogs and cats
Acarina, moulds, a whole dish
Because the world too clean, is asepticized
And our immune system
Cannot adapt any more, cannot make there any more
And shock anaphylactic with least dust
Fire (1879-1962) Henri Wallon
And its (1931) mirror stage
To be identified, its oneself, to see themselves
Prevented not from turning in round
To have bad doubts
Nor (1970) the test of the mirror (born in 1941) of Gordon G Gallup
Cetacea, elephants, chimpanzees, corvidés
And other forgotten, dreadful animals or pin-up girl
The same link, drinking, to eat, copulate
Alas, overpopulation
Rhyme with oppression and repression
Like impoverishment
Rhyme with the counter-revolution
Like the drug addicts, the drug addicts
Who no matter who can fly
Admittedly, one should not make a general information of it
Especially, with the police, they can indicate
It is (as in the film) of “Lacombe Lucien”
For liberal Fascism, it is very well
If little politicized, especially if not very informed
How any dictatorship can use well!
Poverty is side most extremely
Easily purchasable, it stinks death
It is the reserve army of any Fascism
Very as much as the ordinary one of Fascism
Poverty does not make intelligent
By bottom, it is levelling
It makes idiotic, violent, malicious
Thus, a poor black
Is even blacker
But a rich black
Becomes white and is not black any more
Thus, a poor white
Is like a black
The money bleaches
Poverty blackens
Working classes
Dangerous classes
But between the poor only
Not for the rich person, paradoxically
In short, overpopulation and impoverishment
Are for any Fascism, a blessing!
Inevitably, the poor have women with problems
For the wrongfully pleasing rich person, beautiful women
And then, it is the return of the moral order
More no place for the marginal spirit
It is necessary to conform
All kinds of stupidities
For kissing, to eat, and especially to work
Or then you can burst!
They are the rich person who are interdependent
The poor, them, are made the war
I write it, so much worse, that still will displease
Not astonishing, in this time if reactionary!
And even at libertarians
Who are the perfect authoritative ones
Without realizing it, always in competition
The opposite direction of all true revolution
Neither inferior, nor superior, with anyone
Here is my only profession of faith!
I can nothing teach you that you do not know already
But it is necessary it to apply, it is all, here
And culture, arts, science, and all the toutim, of the bourgeoisies
I don't care well, all that is not anarchy
All that is not the life!

“For my turn it is necessary that I break
life in order to wallow there me
That it feels that I return to him
the point of my outraged heart!

Jacques Audiberti (1899-1965)

More no nation
More no fatherland
More no party
More no religion
More no ideology
More no border
More no conflict
No property and thus no war
If we want on Earth, one day, life!
Fire (1931-1989) Thomas Bernhard which hated the diplomas
Trickery had understood well
A licence or a doctorate, this binomial
Rewarding only one negligible small portion
In such or such field
But all the rest is with the sorrow
It is of an infinite claim
And even on only one speciality, it is total reduction!
The students and student are accessory
Of this joke which puts modesty at the torment
And then the true student
It is all its life, where one is, where one goes
And not after the parchment, one stops all
That hides its ignorance, and it is all!
Live the autodidact, a friend
Enough the student, it is an enemy
Like me, you know that flagstone, my pal
On your infatuation, I rote!
The university
The system does nothing but perpetuate
It is the insurance of its perenniality
This world, the blue-collar worker is scorned
Like the conflict of territoriality
Between Israêl and Palestine, still the property
It would be so simple all to however share
And to finish some with all nationalities
It is necessary for that, a total change of mentalities!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysician (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Stalemate says the guest on “hiway.fr”