Néo-malthusianisme et dénatalisme

Admittedly, overpopulation
Is enemy revolution
Admittedly, to make kids
In 2012, it is completely thrashes
It is complete insanity
It is criminal unconsciousness
It is a total misses decency
It is with the reason, the absence
And me, I never wanted children
And from this point of view, I am coherent
The women who were miennes
Of this option, endorsed
But the first which fought against the childbirth
That one makes undergo, with the women, by conditioning
Were anarchistic néo-Malthusians
Who practiced also clandestine abortions
Now, it is more the Neo-Malthusianism
It is its truncated face, the denatalism
It is a heteroclite movement
Where one finds the strange ones click
As in the United States, with fascists
Or elsewhere, with much of nationalist amalgamators
And if the néo-Malthusians of origin are libertarian
The denatalists, according to the countries, are sometimes reactionaries
And yet overpopulation
It is obvious, prevents all true revolution
There are too many people everywhere
Not to realize it, it is to be insane!
It is necessary to stop making kids
Because is to be completely thrashes
And why make some?
To put them at the war?
But you ridges what one tells you to do
And especially without reflecting
One did everything to turn into an idiot you
And like sheep, you like to bray
It is necessary to stop making kids
The world is too ugly, the world is too thrashes
Even in China, it is not allowed any more
More than one child, because it would be madness!
But you are flexible robots
And are programmed you to give birth to
And you are if conformists in credulity
That thus, you become tragic imbeciles
And we all are and more or less
And with certain amounts, of the cretins and the cretins
We are the world, with our images
We are the infernal round, in our plumages
The anarchists are always
Ugly Ducklings
Of their family, of that of the others, and without recourse
We are worse than bastard
Parents of our lovers girlfriend, our partners
We dedicate to the Gemonies, without the states of heart
They hate us, vomit us
Because, it is worse of all, anarchy
But we have the mischievousness
Against all your police
To make them a thumb your nose
And to refuse to make children
Who in their turn would become parents
Who in their turn would have children
And which would end up their resembling
Children? why make?
So that everyone is knifed!
Children? why make?
So that everyone is removed rust!
Yes, I am néo-Malthusian
From your authoritative world, I do not await anything
Of your organization reactionary, I do not hope for anything
Because as long as educations will be between your hands
If illiterate and illiterate, it will never occur anything

Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysician, Pat says the guest on “hiway.fr"

Certes, la surpopulation
Est l'ennemie de la révolution
Certes, faire des gosses
En 2012, c'est tout à fait rosse
C'est de la complète démence
C'est de la criminelle inconscience
C'est un total manque de décence
C'est à la raison, l'absence
Et moi, je n'ai jamais voulu d'enfants
Et de ce point de vue, je suis cohérent
Les femmes qui furent miennes
De cette option, firent siennes
Mais les premiers qui luttèrent contre l'enfantement
Que l'on fait subir, aux femmes, par conditionnement
Furent des anarchistes néo-malthusiens
Qui pratiquaient aussi des avortements clandestins
Maintenant, c'est plus le néo-malthusianisme
C'est sa face tronquée, le dénatalisme
C'est un mouvement hétéroclite
Où l'on retrouve d'étranges cliques
Comme aux Etats-Unis, avec des fascistes
Ou ailleurs, avec beaucoup d'amalgamateurs nationalistes
Et si les néo-malthusiens d'origine sont libertaires
Les dénatalistes, selon les pays, sont parfois réactionnaires
Et pourtant la surpopulation
C'est évident, empêche toute vraie révolution
Il y a trop de monde partout
Ne pas s'en rendre compte, c'est être fou!
Il faut arrêter de faire des gosses
Car c'est être tout à fait rosse
Et pourquoi en faire?
Pour les mettre à la guerre?
Mais vous faîtes ce que l'on vous dit de faire
Et surtout sans réfléchir
L'on a tout fait pour vous abrutir
Et comme des moutons, vous aimez braire
Il faut arrêter de faire des gosses
Le monde est trop moche, le monde est trop rosse
Même en Chine, il n'est plus permis
Plus d'un enfant, car ce serait folie!
Mais vous êtes des robots dociles
Et l'on vous programme pour enfanter
Et vous êtes si conformistes dans la crédulité
Qu'ainsi, vous devenez de tragiques imbéciles
Et nous sommes tous et toutes plus ou moins
Et à certaines doses, des crétines et des crétins
Nous sommes le monde , à nos images
Nous sommes l'infernale ronde, en nos plumages
Les anars sont toujours
Les vilains petits canards
De leur famille, de celle des autres, et sans recours
Nous sommes pires que bâtards
Les parents de nos amantes copines, de nos compagnes
Nous vouent aux gémonies, sans les états d'âme
Ils nous haïssent, nous vomissent
Car, c'est pire que tout, l'anarchie
Mais nous avons la malice
Contre toutes vos polices
De leur faire un pied de nez
Et de refuser de faire des enfants
Qui à leur tour deviendraient des parents
Qui à leur tour auraient des enfants
Et qui finiraient par leur ressembler
Des enfants? pourquoi faire?
Pour que tout le monde se zigouille!
Des enfants? pourquoi faire?
Pour que tout le monde se dérouille!
Oui, je suis néo-malthusien
De votre monde autoritaire, je n'attends rien
De votre organisation réactionnaire, je n'espère rien
Car tant que les éducations seront entre vos mains
Si illettrées et analphabètes, il ne se passera jamais rien

Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysicien, Pat dit l'invité sur "hiway.fr"